Les jardins familiaux, composés d’une vingtaine de parcelles, ne sont équipés que de quatre pompes à eau manuelles pour arroser les cultures, dont deux qui se désamorcent constamment, une “réparée” qui fonctionne très mal et une seule qui fonctionne bien...

Question de Plaisance Citoyenne

Malgré le paillage et les récupérateurs d’eau qui sont vite à sec à cause de la sécheresse, il devient de plus en plus difficile d’arroser et certains jardiniers envisagent d’abandonner.

Ces derniers souhaiteraient qu’un autre type de pompe soit installé : une pompe solaire, une moto-pompe ou une pompe électrique.

Qu’est-il possible de faire pour les aider ?

Pour écouter la réponse :

L’adjoint à l’Environnement : A ce jour, les jardins familiaux sont équipés de pompes manuelles qui fonctionnent. La majorité des jardiniers sont satisfaits.

Coût pour une pompe de l’ordre de 20 000 euros au total (réseaux et matériel).

On peut cependant étudier des solutions alternatives avec une augmentation de la capacité des récupérateurs d’eau. Le toit d’un hangar a fait l’objet d’une restauration. Ce sont souvent les joints des pompes qui sont abimés. Les services techniques ont démonté les pompes et ont trouvé des cailloux. Ils ne savent pas trop si c’est des jeunes qui mettent des cailloux. Ils ont acheté un stock de joints pour remédier à ce problème. On va essayer de voir ce qu’on peut faire. Une pompe solaire coûte vraiment cher. Les services techniques vont aller rencontrer de nouveau les jardinier pour voir ce qu’on peut faire.

Florence Queval :  La pompe à 20 000 euros, c‘est une pompe comment ?

Le Maire : Il y a le réseau qui coûte très cher, il faut amener l’eau. Il y a pompe et réseau. C’est pas la pompe elle-même qui coûte 20 000 €, c’est le tuyau qui permet d’aller chercher l’eau.  

Florence Queval : M. Lacombe nous dit que les pompes fonctionnent, mais nous avons ce témoignage qui nous dit qu’elles ne fonctionnent pas et l’idée serait de remplacer les pompes qui ne fonctionnent pas par d’autres ou de les réparer, mais il n’est pas question de creuser ou de refaire un réseau. On peut peut-être juste les remplacer par des pompes qui fonctionnent. 

Le Maire : Si elles ne fonctionnent pas c’est parce qu’il y a des cailloux, il vaut mieux réparer les joints, ça coûte moins cher.

Florence Queval : Y aurait-il un moyen que ces jardiniers soient en contact avec les services techniques qui réparent sans avoir à réclamer

L’adjoint à l’Environnement :  Oui les services techniques les rencontreront.


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