J’ai 54 ans, j’ai deux filles de 27 et 20 ans et je suis journaliste, actuellement correspondante dans le Sud-Ouest d’un groupe national de presse agricole et agroalimentaire.

J’habite, depuis plus de 20 ans, le hameau de Birazel, un quartier d’environ 200 foyers installés au sein d’une zone verte, agricole et naturelle encore très préservée, avec son lac, ses champs et ses bois. Pour l’instant, il est inaccessible à vélo, sauf à risquer sa vie sur la route de Lamasquère. Je souhaiterais qu’une piste cyclable soit tracée le long de cette route, bien séparée par une haie afin d’éviter tout danger, pour pouvoir rejoindre Plaisance à vélo.

Dans le hameau, transformer les profonds fossés en trottoirs végétalisés, qui laisseraient passer l’eau de pluie, mais permettraient aux piétons de circuler sans marcher sur la chaussée, ne me semble pas irréaliste. Beaucoup de projets me tiennent à cœur, pour préserver ce site naturel, tout en le rendant plus agréable à vivre !

A Plaisance, j’ai fait partie de la poignée de femmes qui ont créé l’association de gym volontaire GV-JV en 2004, et j’en ai été trésorière pendant dix ans. J’ai adoré gérer cette énorme association de 850 adhérents, presque toutes adhérentes (il devait y avoir trente hommes), et le contact que j’ai pu avoir avec un grand nombre d’entre eux.

J’ai aussi été vice présidente, puis présidente de la FCPE (association de parents d’élèves) du collège Jules Verne, puis du lycée Françoise de Tournefeuille. Là encore, une formidable expérience auprès de 850 familles adhérentes, dans ce lycée que j’adore. Bien que ma seconde fille ait passé son Bac il y a bientôt trois ans, je fais toujours partie de la Maison des Lycéens, à laquelle je donne un coup de main pour aider à financer les projets culturels des profs, des élèves et du lycée.

Ce qui m’intéresse, c’est être au contact des gens, de les écouter, de les comprendre, de trouver des solutions, de monter des projets, de faire en sorte que chacun se sente important et pris en compte. Je souhaite que Plaisance soit une ville où il fasse bon vivre et où les Plaisançois soient heureux d’habiter.