Pascal BARBIER, 59 ans, marié et père de 3 grandes filles. D’origine nordique (je suis né en Lorraine, j’ai vécu mon enfance en Champagne puis en Normandie, j’ai terminé mes études en région parisienne), je suis arrivé en Occitanie en 1989 et j’ai acheté ma maison à Plaisance du Touch en 1994.

Je suis formateur en informatique et en organisation depuis 1984. Je travaille pour le même employeur depuis 1993.

Très investi dans le milieu associatif, j’ai été président de plusieurs associations. Je suis toujours au bureau du club d’athlétisme et du collectif « Non à Val Tolosa ». J’ai également été longtemps président de « Plaisance Environnement ».
En matière politique, je suis un écologiste plus que convaincu mais certainement pas extrémiste. Je suis persuadé qu’il y a urgence à réformer radicalement notre mode de vie qui consomme plus de ressources que la planète ne peut en produire. Toutefois, je suis certain que la transition écologique peut être vécue comme un progrès et qu’il n’est nul besoin de retourner à la bougie ou l’âge de pierre. Après de nombreuses années de pratique de cet engagement dans les associations environnementales et les ONG, j’ai compris que les véritables leviers de l’action sont dans les exécutifs, surtout au niveau local. J’ai donc, en 2007, adhéré au parti « Les Verts » aujourd’hui devenu EELV. J’y ai immédiatement pris des responsabilités qui m’ont conduit, aujourd’hui à assurer le rôle de trésorier régional.

J’étais candidat, en 2008, sur la liste « Réinventons Plaisance » et à l’occasion de démissions, je suis devenu élu dans l’opposition à mi-mandat. J’ai mené conduit cette liste lors des élections de 2014 où nous avons obtenu 8 sièges au conseil municipal et 4 au conseil de communauté de communes, soit le maximum. Je suis persuadé qu’une des raisons de notre échec à l’élection est la volonté que nous avions de masquer nos opinions politiques : les citoyens n’aiment pas qu’on leur cache qui on est et ce qu’on pense réellement.

Comme en 2014, je me lance dans cette élection avec la ferme intention de la gagner parce que c’est l’intérêt de tous de mettre en place une nouvelle gouvernance. J’avais, lors de la dernière élection, signé a charte « Anticor ». Ce geste n’est pas que symbolique. C’est un engagement contractuel sur un certain nombre d’actions ou de postures qui remettent l’intérêt public au centre de l’action des élus. Depuis, j’ai adhéré au réseau « Transparency
International » et je travaille très concrètement au sein de ce mouvement à promouvoir une action publique plus éthique. Notre système politique est gâté par quelques vers malfaisants qui concentrent les projecteurs médiatiques et qui font penser aux citoyens que l’élu est un escroc.
Plaisance demain, dans mes rêves qui vont se concrétiser bientôt, est une ville :

  • Qui plait à ses habitants,
  • Qui a retrouvé sa place légitime dans l’agglomération,
  • Qui fait participer le citoyen à la vie publique,
  • Qui ne laisse personne sur le bord de la route,
  • Qui crée localement sa propre énergie, son alimentation pour les séniors et les enfants,
  • Qui n’utilise plus l’eau potable pour arroser les espaces verts ou nettoyer les rues.
  • Qui devient un but de promenade bucolique pour les urbains Toulousains.
  • Où les associations travaillent la main dans la main avec les élus et les services.
  • Où l’on vit « ensemble ».
    Une ville dont les habitants sont redevenus fiers.